Après l’agression, le jeudi 10 octobre 2024, d’un professeur de mathématiques qui avait tout simplement demandé à un élève d’enlever sa casquette conformément au règlement intérieur du lycée Robert Doisneau, Philippe David, journaliste à « Sud Radio » a tenu, le mercredi 23 octobre 2024, à remettre l’église au centre du village.
Corbeil-
Au lycée Robert Doisneau, l’agression d’un professeur molesté par un élève a suscité d’étranges comportements comme celui du proviseur qui n’a pas jugé utile de soutenir l’enseignant. Sur « Sud Radio », le chroniqueur Philippe David a poussé un coup de gueule en dénonçant, notamment, le laxisme de l’Education Nationale.
« Je vais te buter, sale fils de pute ! »
« Dans ce lycée, un professeur de mathématiques demande à un élève de retirer sa
casquette, conformément au règlement qui interdit les couvre-
Corbeil-
Dans son coup de gueule diffusé le 23 octobre 2024 sur « Sud Radio », Philippe David relate des faits et des comportements surprenants qui ne vont pas sans poser certaines questions (Photo : Sud Radio). Radio).Francilienne a mobilisé d’importants secours.
« Nous n’avons tiré aucune leçon des assassinats de Samuel Paty et de Dominique Bernard ! »
Selon Philippe David, ce nouvel événement en forme d’incident particulièrement grave
qui a eu pour cadre le lycée Robert Doisneau implanté à Corbeil-
Bernard Gaudin -
« Des enseignants se sont désolidarisés du professeur ! »
Selon le journaliste de « Sud Radio », « preuve est faite que la lâcheté est bien ancrée dans l’ADN de l’Education Nationale ». « Une partie des enseignants s’est désolidarisée du professeur, lui reprochant une application trop zélée du règlement intérieur », déplore Philippe David qui précise aussi que le proviseur du lycée Robert Doisneau n’a pas soutenu l’enseignant, omettant de mentionner les coups reçus lors du Conseil de Discipline auquel l’élève a été convoqué. « Pire encore, il a rencontré les élèves et leur a promis que les casquettes seraient dorénavant autorisées dans les couloirs, en totale contradiction avec la loi », s’offusque le journaliste. « Dans un pays normal, le proviseur et les enseignants qui ont abandonné le professeur victime seraient immédiatement révoqués de l’Éducation nationale par le ministre. Mais nous sommes en France, comme vous le savez ! ».
Corbeil-