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Prix de l’association Anticor en 2016

 

Alain Piffaretti estime que la dénonciation d’un « système Dassault » corrompu, s’étendant sur toute la commune, n’a pas été immédiatement entendue. « Bruno Piriou a donc choisi de livrer méticuleusement sa version du mécanisme de corruption et d'achat de voix, dans un livre intitulé - l'argent maudit - publié chez Fayard. La justice s'est depuis saisie de l'affaire et des condamnations sont tombées. Durant de très longues années Bruno Piriou a été la cible de nombreuses attaques de la majorité municipale alors en place », explique-t-il. « Mais Bruno Piriou, qui a reçu en 2016 un prix décerné par l'association Anticor pour sa dénonciation du système de corruption à Corbeil, n'est pas du genre à se laisser impressionner », considère-t-il avant de dresser un bref portait du maire de Corbeil-Essonnes. « Né dans un milieu ouvrier, à Draveil, avec un père salarié chez Renault, il adhère très tôt aux Jeunesses Communistes dont il deviendra l'un des dirigeants nationaux. Il y côtoie notamment Pierre Laurent, futur patron du Parti Communiste Français. Sa grande fierté c’est d’avoir fait partie de la génération qui a contribué à faire libérer Nelson Mandela dans les années 1986/87 », indique le journaliste des Echos.

 

« Créer une république sociale et écologique ! »

 

En attendant d'être entendu au niveau national, Bruno Piriou expérimente son concept à Corbeil-Essonnes. « De vastes réunions participatives sont organisées pour définir le devenir des différents quartiers », souligne Alain Piffaretti. « C'est la participation des habitants aux décisions qui les concernent qui doit permettre de fabriquer la ville », revendique l’élu de Gauche. Ces préceptes, Bruno Piriou a pu les détailler lors du « Festival des idées » de la Charité-sur-Loire organisé du 7 au 9 juillet 2023. « il faut arriver à créer une république sociale et écologique fondée sur la parole des citoyens », a-t-il notamment déclaré en attendant les premiers grands retours des ses consultations géantes.

 

Bernard Gaudin - 19 août 2023

 

 

 

Dans une publication mise en ligne le 15 août 2023 sur le quotidien d’information économique « Les Echos », Alain Piffaretti fait l’éloge de Bruno Piriou dans une rubrique intitulée « Jeunes espoirs et ténors locaux » en Essonne. Titré « Bruno Piriou : Le chantre de la démocratie participative », l’article évoque, notamment, le combat de trente ans mené par l’actuel maire DVG de Corbeil-Essonnes face au « système Dassault ». « L'obstination finit toujours par payer. C'est à sa cinquième tentative que Bruno Piriou est parvenu à conquérir la ville de Corbeil-Essonnes », souligne le journaliste en considérant que l’élu âgé aujourd’hui de 61 ans mérite sans doute le prix de la détermination.

 

 

 

Corbeil-Essonnes : Bruno Piriou, jeune

espoir de la politique en Essonne selon

« Les Echos »

 

Après trente années de combat face à Serge Dassault, Bruno Piriou est devenu maire de Corbeil-Essonnes en 2020. Dans le journal « Les Echos », un article titré « Bruno Piriou : Le chantre de la démocratie participative », le journaliste Alain Piffaretti dresse le portrait d’un élu essonnien atypique.

Corbeil-Essonnes : Bruno Piriou se veut un ardent  défenseur de la démocratie participative. 

 

Conseiller général et vice-président du département de l’Essonne

 

En parlant d’une « carrière assez classique de cadre du Parti Communiste », Alain Piffaretti évoque tout d’abord le poste de collaborateur au Cabinet de Roger Combrisson, celui qui fut maire communiste de Corbeil-Essonnes de 1959 à 1992. Bruno Piriou deviendra plus tard conseiller général, puis vice-président du département de l'Essonne. « Mais en 1995, la droite gagne la majorité au département et perd son canton de Corbeil -Essonnes », précise le journaliste en indiquant que Bruno Piriou avait alors refusé l'alliance avec le Parti Socialiste par opposition à la politique menée par le PS au niveau national. « Cet insatiable lecteur, qui cultive sa liberté d'expression, commence peu à peu à s'éloigner des organes et des partis. En 2013, il décide de quitter le Parti Communiste. Il fonde alors l’association - Le printemps de Corbeil-Essonnes - qui le conduira jusqu'au fauteuil de maire en 2020 », détaille-t-il.

 

 

 

 

 

« Il souhaite que les citoyens soient entendus ! »

 

Alain Piffaretti insiste ensuite sur la volonté de Bruno Piriou dans son souhait de changer la société. « Revenu des grandes idéologies, il croit désormais dans la démocratie participative. Il souhaite que les citoyens puissent être d'avantage entendus et obtiennent une place plus importante dans la vie démocratique. Selon lui, les abstentions records aux élections sont l'un des symptômes de cette crise qui appelle des changements profonds », relate-t-il en estimant que tout cela est à l’origine du refus de Bruno Piriou d’accorder son parrainage à la présidentielle de 2022. « J'avais dit à Fabien Roussel, quelques mois avant qu'il annonce sa candidature, de faire un tour de France pour demander l'avis des gens pour bâtir son programme. Malheureusement, il ne m'a pas écouté », a confié le maire de Corbeil-Essonnes au journaliste des Echos.

 

 

 

 

Corbeil-Essonnes : L’actuel maire a adhéré très tôt aux Jeunesses Communistes.

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